Introduction
On croit parfois qu’un logiciel se construit derrière un écran. Pour DiagNotes, c’est l’inverse : il s’est construit dans les cabinets, dans les salles d’attente, dans les discussions après les séances, dans les silences partagés avec d’autres thérapeutes.
Ce projet, je ne l’ai pas inventé seul. Il est né dans la rencontre.
Chaque thérapeute porte une vérité que les autres comprennent instinctivement
En rencontrant des acupuncteurs, ostéopathes, psychologues, énergéticiens, physios… j’ai réalisé une chose essentielle :
Nous avons tous des pratiques différentes, mais nous partageons les mêmes douleurs invisibles.
Ce que j’ai entendu, encore et encore :
- “J’adore mon travail, mais l’administratif me rattrape toujours.”
- “J’ai peur d’oublier quelque chose d’important entre deux séances.”
- “Je veux être entièrement présent, mais ma tête déborde.”
- “Je ne sais plus où j’en suis dans certains suivis longs.”
- “Je voudrais faire mieux… mais je manque de temps.”
À chaque rencontre, j’avais l’impression d’entendre une partie de mon propre vécu. C’est là que j’ai compris que ce projet dépassait largement mon expérience personnelle.
DiagNotes devait répondre à un besoin collectif.
Les thérapeutes m’ont appris que la générosité a un prix
Nous donnons beaucoup. Parfois trop.
Nous donnons notre attention, notre énergie, notre stabilité intérieure. Nous tenons l’espace pour des vies entières. Mais qui tient cet espace pour nous ?
Dans ces échanges, j’ai vu des thérapeutes brillants, passionnés, humainement magnifiques… et profondément fatigués.
Pas une fatigue physique. Une fatigue de l’intérieur. Une fatigue de contenir tout, tout le temps.
C’est en les écoutant que j’ai saisi l’urgence : Créer un outil qui protège la présence du thérapeute.
Les thérapeutes m’ont appris que la mémoire humaine a ses limites
Au fil des conversations, une phrase revenait sans cesse :
Même les meilleurs thérapeutes du monde ne peuvent pas :
- se souvenir de 80 dossiers en détail,
- retrouver instantanément le fil d’un suivi long,
- rédiger après une journée épuisante,
- garder tout en mémoire sans surcharge.
La mémoire humaine est magnifique, intuitive, sensible — mais elle n’est pas faite pour être un système d’archivage.
C’est là que la Mémoire Transverse de DiagNotes a commencé à prendre forme.
Pas pour remplacer la tête du thérapeute. Pour la libérer.
Les thérapeutes m’ont appris qu’ils veulent de la technologie… mais pas n’importe laquelle
Contrairement à ce que certains pensent, les thérapeutes ne rejettent pas la technologie. Ils rejettent la technologie qui complique.
Ce qu’ils m’ont demandé :
- “Un outil qui me comprend.”
- “Un outil discret.”
- “Un outil fiable, suisse, sécurisé.”
- “Un outil qui ne pense pas à ma place.”
- “Un outil qui me fait gagner du temps sans dénaturer la relation.”
Et surtout :
C’est exactement la direction que j’ai suivie. Pas de fonctionnalités gadgets. Pas de distractions. Pas d’usine à gaz.
Juste ce qui soutient vraiment.
Les thérapeutes m’ont appris que la vulnérabilité est une force professionnelle
Ce qui m’a le plus touché dans toutes ces rencontres, ce ne sont pas les demandes techniques. C’est la sincérité.
Les thérapeutes m’ont parlé de leurs doutes, de leurs épuisements, de leurs erreurs, de leur humanité.
Et j’ai compris une vérité simple :
Et demander du soutien n’est pas un échec, c’est une maturité clinique.**
DiagNotes devait honorer cette vulnérabilité. Pas la masquer. Pas l’instrumentaliser. L’honorer.
Ce que ces rencontres ont changé dans la construction de DiagNotes
Elles ont tout changé.
Elles ont donné naissance à :
- L’IA clinique, qui structure sans interpréter
- La mémoire transverse, qui relie les points essentiels
- Les synthèses automatiques, pour clarifier sans effort
- Le tableau de bord patient, pour préparer une séance en 2 minutes
- La conformité suisse, pour la tranquillité juridique
- Un design simple, respirant, apaisant
Chaque fonctionnalité porte l’empreinte d’une discussion réelle. D’une douleur réelle. D’un besoin réel.
Astuce DiagNotes
Conclusion
DiagNotes ne vient pas d’un bureau. Il vient du terrain, de vos cabinets, de vos histoires, de vos défis, de vos doutes, de vos élans.
Ce n’est pas “mon” outil. C’est le vôtre. Je n’ai fait que lui donner forme.
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